Nous sommes un parti politique NATIONAL et respectueux des lois de la République. Mais ce qui se passe aujourd’hui à la CENI concernant les préparatifs des élections législatives est une mafia POLITIQUE organisée par le POUVOIR en place et certains partis politiques de l’opposition mais ça ne marchera pas. Et tout cela sous les yeux de la société civile et des administrateurs territoriaux de notre pays.
Notre parti CPA (CONGRÈS POPULAIRE AFRICAIN) a un leader et c’est Madame DIOUBATÉ Marie madeleine, seule FEMME qui a osé compétir en 2015 avec des leaders qu’on connaît tous et dans un contexte sociopolitique extrêmement difficile je vous dis. C’est vrai que le CPA depuis sa création en 2010, n’a jamais participé à une élection pour des raisons jugées valables. Depuis janvier 2019, madame DIOUBATÉ préside le CPA suite à un congrès national organisé à l’interne, dont une copie a été envoyé et à la CENI et au MATD pour information. Puis nous avions reçu l’accusé de réception de tous les deux côtés.
Alors, ceux qui s’agitent au sujet du partage des démembrements de la CENI sur la base du quota accordé à l’opposition sont les premiers traîtres de ce pays en complicité avec le pouvoir en place qui contrôle la CENI comme l’enfant et son père dans une famille. Nous qualifions l’article 23 du code électoral modifié au prorata des résultats des communales dernières non seulement comme un point de désaccord éternel entre les partis politiques de l’opposition, mais aussi comme, une occasion expressément préparée par le pouvoir actuel avec pour seul but : de créer du désordre dans l’opposition pour vite réussir son plan d’obtenir la majorité absolue aux législatives prochaines. Mais ça ne marchera pas. Nous restons sur notre position et nous continuerons à nous battre contre vent et marré pour nous faire entendre.
Notre présidente n’est pas un leader à présenter. Qu’ils le sachent très sérieusement. Madame Marie madeleine Dioubaté fera mieux qu’en 2015.
Moneko KOUYATÉ, conseiller personnel de la présidente du parti CPA