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Cellou à Paris : une image, mille et une raisons de croire en l’homme (Par Marouane)

Il n’y a plus de place où persévérer à nourrir une jalousie maladive contre l’homme. Encore moins de raison de voir en lui une proie, alors que son étoile brille au firmament, son destin est hors de portée des vrais ennemis et des faux amis. Pas de chance pour ceux-là qui rêvent de se hisser à son niveau par le jeu des intrigues et autres coups bas. Dans ce village planétaire si cher à Marshall Mac-Luhan, au-dessus duquel l’alignement des planètes lui est favorable et tout semble programmé pour l’accomplissement d’un destin fabuleux. Le sien. Sur lequel les imprécations, le mauvais œil, la jalousie, les invocations les plus abracadabrantes resteront de nul effet. Ce destin qui ouvre grandement le  boulevard devant le mener au pouvoir.

En bénéficiant d’une considération particulière de ses hôtes français, avec des honneurs et la magnificence d’une success story, il a démontré à ceux qui pouvaient en douter, le caractère universel de son combat et sa dimension internationale qui rayonne largement au-delà des frontières de la Guinée. Cela doit être écrit et dit, mieux, inscrit en lettres d’or au fin fond de la mémoire collective. Dans un contexte où, un groupuscule avide de pouvoir et ramant à contre-courant de l’histoire, rêve de fêter ses funérailles politiques. Ces croque-morts garderont encore longtemps leurs larmes de crocodile et leurs outils de fossoyeurs, les chrysanthèmes cueillis dans la perspective de leur funeste dessein finiront par se faner dans leurs bras.

L’ image de ce rendez-vous annuel du MEDEF (Mouvement des Entrepreneurs de France) à Paris, vaut mille mots.

Dans le pays de ses ancêtres, Cellou est attaqué  dans son honneur, ostracisé parmi ses pairs, éloigné de ses proches et contraint à l’exil parce qu’on lui reproche un « crime ». Un seul, celui d’être le grandissime favori de la prochaine course au fauteuil présidentiel.

Mais force est de constater, avec la vérité qui résiste au temps et l’histoire qui reste inaltérable malgré des manœuvres visant à la déformer, Cellou triomphe toujours de ce petit cercle de tourmentés qui ont juré de lui tailler des croupières, et de couvrir sa réputation immaculée de leurs vomissures. Mais, encore une fois, heureusement que nous vivons dans un village planétaire.

Comme le roseau de la fable, Cellou a (re)plié, mais il ne rompra point, et réserve à ceux qui ont décidé de contrarier le destin des surprises désagréables.

Il n’y a pas de tragédie à rechercher derrière chaque épreuve dans la lutte politique de l’homme. C’est inéluctablement le chemin qui mène vers la gloire, et rien ni personne ne pourra freiner la marche du temps.

Qui pour dire non à Dieu quand t-il dit OUI ?

« Jette l’homme chanceux dans le fleuve, il en ressortira avec un poisson dans la bouche », nous dit un adage africain.

 

Par Habib Marouane Camara, éditorialiste.

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