Depuis son illustre plaidoyer livré en faveur du projet de nouvelle Constitution aux travaux de lancement de la Coalition Démocratique pour une Nouvelle Constitution (CODENOC), plaidoyer qui a bénéficié des faveurs de l’immense majorité de l’opinion publique, le Président Aboubacar SYLLA fait l’objet d’une vaste et triste campagne médiatique de dénigrement de la part de Cellou Dalein et sa bande.
Le bras exécutant de cette basse besogne n’est personne d’autre que l’aboyeur public attitré, le clown de l’UFDG, Fodé Oussou qui multiplie les sorties au demeurant toutes indécentes et honteuses. Qui mieux qu’un ancien fou connu et reconnu, un spécialiste de propos vils a le profil parfait pour faire dans cet exercice de la misère. Il y a là, la révélation de toute la logique qui a sous-tendu l’action de Cellou Dalein de faire admettre au sein de la direction de son parti cet inculte de premier degré égaré en politique.
Désarçonnés par les arguments développés en faveur du principe d’une nouvelle Constitution, dans le dernier épisode de leur mélodrame, paru ce samedi, 10 aout 2019 sur le site : www.mosaiqueguinee.com dans un article intitulé : « Fodé Oussou Fofana « Aboubacar Sylla me fait … », Cellou Dalein et sa clique n’ont eu d’autre choix que de recourir aux armes des lâches, le commérage et la calomnie, en insinuant que l’engagement politique du Président Sylla est motivé par la recherche de postes ministériels. Mais diantre, quel mensonge, quelle sacrée imagination ! Seulement si tel était le cas, comment expliqueraient-ils son action au sein de l’opposition politique pendant plus de sept ans et aux fonctions de porte-parole alors qu’il a constamment bénéficié des sollicitations du pouvoir de participer au gouvernement de la république ?
A bien y voir clair, il n’y a vraiment rien de nouveau sous le soleil. Il est fréquent que du fait du syndrome du dédoublement de personnalité, il arrive alors qu’un vicieux y voit dans l’autre, une duplication de sa propre personnalité, de ses propres défauts. Alors, pour quelqu’un comme Cellou Dalein qui a assumé pendant de longues années, en dehors de toute vertu, d’importantes fonctions administratives, il est normal pour lui de penser qu’il n’y a aucune conviction à poursuivre dans les rôles dans la vie publique. Lui qui a passé toute sa vie, accroché à l’Etat et à sucer à ses deux mamelles. Adepte des procédés non orthodoxes, il est tristement célèbre pour avoir bradé des symboles comme Air Guinée, l’usine de Fria, les rails….au détriment de plusieurs générations de guinéens, il ne peut penser alors que les positions dans la vie publique ne consistent qu’à se servir et non servir. Même se disant encore opposant, s’opposant farouche, il continue encore à vivre dans un bâtiment public. Drôle d’opposant non ? Ces quelques malheurs extraient d’une longue litanie qu’il est impossible d’égrener tous ici sont à l’évidence tristement connus de l’opinion.
Quid de l’opposition politique, de l’Opposition Républicaine ? Un autre échec, un autre malheur, un autre spectacle de désolation de l’homme. Détruisant tout ce à quoi il touche et participe, cette entité qui a connu des périodes de gloire est aujourd’hui quasiment morte de sa belle mort. Promise à de belles réussites, l’Opposition Républicaine s’est rétrécie au fil du temps comme peau de chagrin et s’est complètement vidée de sa substance. Tous les leaders, une vingtaine, qui ont signé leur départ de cette organisation ont tous unanimement intenté un procès juste et sévère contre la crise de leadership, les calomnies et la cupidité de Cellou Dalein.
Qu’on ne se trompe surtout pas, le but de cet exercice de la honte n’est rien d’autre que d’abuser de l’opinion et de tenir auprès d’elle l’image de marque du Président Sylla, conquise de haute lutte, laquelle opinion salue aujourd’hui, à juste titre, les nombreux et inlassables réformes et efforts consentis, avec l’appui du gouvernement, en faveur de la sécurisation, de l’amélioration et de la modernisation des conditions de mobilité des personnes et des biens.
Mais en définitive, il est à attendre et dans sous peu, que se produise contre cette bande, la bande à Cellou, le sort du radeau de la Méduse, et ça sera la pièce de leur monnaie. Ne disons-nous pas : « le mal est un ballon qui rebondit toujours vers celui qui l’a lancé » !
Directeur de la cellule de communication de l’UFC