Conformément à la volonté du Président de la République Alpha Condé, les membres du Gouvernement poursuivent leur série de comptes rendus relatifs aux acquis de la troisième république. Ainsi, après le secteur de l’Énergie et de l’hydraulique, place au secteur des mines et de la géologie.
Grâce aux efforts consentis par le gouvernement dans ce secteur le pays est dorénavant reconnu sur le plan international pour les importants progrès réalisés depuis 2011. A titre illustratif, la Guinée a été classée par la Banque Mondiale, en 2017, parmi les cinq (5) pays les plus réformateurs au monde. Le pays est devenu le porte flambeau de la Vision Minière Africaine par son choix pour abriter le siège du Centre Africain de Développement Minier (CADM) en 2018.
Depuis 2011, la Guinée a adopté une nouvelle politique minière dont les réformes ont porté sur le cadre législatif et réglementaire, les capacités institutionnelles, la gouvernance et l’équilibre de partage des bénéfices entre les parties prenantes.
Des réformes considérables ont été réalisées qui ont permis de favoriser l’adoption d’un Code minier incitatif en 2011 et amendé en 2013 qui intègre des innovations importantes inspirées des meilleures pratiques internationales pour la promotion de la transformation locale, la promotion de la main-d’œuvre et des PME locales, la protection de l’environnement, la transparence et la lutte contre la corruption, la promotion du développement local. Ce code a introduit la prise de participation de l’Etat pouvant atteindre 35%, avec des parts non contributives atteignant 15%, permettant à la Guinée de disposer d’une minorité de blocage et veiller à la sauvegarde de ses intérêts dans le développement des projets.
Avec la Cellule de communication du Gouvernement