En date du 5 mai 2019, suite à des dérapages incontrôlés d’un égaré postiche politicard, j’avais mis en garde toute personne qui aurait un seul écart de langage envers le Kountigui de la Basse Côte, El Hadj Sekhouna Soumah.
Aujourd’hui, un sbire en mal de reconnaissance, qui croupissait en prison au Mozambique, et qui a recouvré la liberté grâce aux bons soins du Président Alpha Condé, parait-il, a franchi le rubicond.
Loin de vouloir mener un combat identitaire, le Kountigui a démontré que le problème guinéen est une question de destin commun. C’est pourquoi il s’est rangé du côté du peuple.
Ceux qui se battent pour une communauté ou des intérêts égoïstes se trompent de combat.
Sa démarche qui consiste à ne pas se mêler de tout ce qui va à l’encontre du respect scrupuleux de la Constitution, lui a valu la reconnaissance des patriotes, le soutien des autres autorités morales du pays, et plusieurs visites à son domicile par des partenaires au développement, que sont les Etats-Unis, l’Union Européenne, les chancelleries, etc.
La disparition récente du doyen El Hadj Saïkou Yaya Barry, président de la coordination nationale Haali Poular, a ému tout le pays, à commencer par ledit Kountigui qui lui a rendu un vibrant hommage.
Dans la culture africaine, on s’interdit d’insulter une personne plus âgée que soi, et à plus forte raison un patriarche à magnifier.
C’est la gouvernance du Président de la république qui est décriée, et non pas sa personne. Donc, c’est à ceux qui le soutiennent d’apporter la contradiction ou la preuve du contraire. Rien de plus !
Désormais, quiconque s’amuse à manquer de respect à notre KOUNTIGUI NATIONAL, me trouvera face à lui.
Wa Salam.
Fodé Mohamed Soumah
Président de la Génération Citoyenne