Il a dédié son existence et ses avoirs personnels à la jeunesse de son pays, au football qui est sa vocation, la culture qui est sa passion de vie et pour lesquels il est prêt à offrir son âme pour le triomphe de son pays et la grandeur de sa nation.
Antonio Souaré, c’est l’homme de culture et de football.
De son Wondima (Kindia) d’origine à Conakry, l’homme respire football et il transpire culture. C’est sa vocation par nature, ses passions de vie et les raison pour lesquelles il est prêt d’y laisser sa vie.
Ce fils de ses œuvres ou ce self-made-man rêve de transformer son pays en grande nation de football et ambitionne de faire de la Guinée une vitrine de l’identité culturelle africaine reposant essentiellement sur sa musique traditionnelle authentique et au rythme de nos sonorités propres à notre identité.
Antonio Souaré ne triche pas dans ses choix et ne trahit pas sa vocation et sa passion.
Ce coffre-fort ambulant au service exclusif du football et de la culture n’a jamais calculé avant de donner, ni hésiter d’accompagner toutes initiatives de jeunes portant sur la culture et le football. Il s’y engage à cœur joie et sans contrepartie.
Malgré ses multiples sacrifices, ses énormes services rendus à la jeunesse de son pays à travers la culture et le football, Antonio Souaré subit par son destin, combattu sans raison et accusé à tort.
On prête à Antonio Souaré des intentions qu’il n’a jamais nourries et qu’il ne va jamais caresser.
La politique est un chemin interdit pour lui et par lui. Il ne s’y engagera pas.
Il n’est pas fait pour ça et il ne fera pas ça ! C’est à la fois un tabou et totem pour lui.
Laissez Antonio Souaré vivre sa passion, et accomplir sa vocation qui ne sont que le football et la culture.
Le reste n’est que diversion et manipulation ! Le retirer de cette passion ou le priver de sa vocation c’est commettre un homicide volontaire.
Laissez-le vivre sa passion et accomplir sa vocation !
Wassalam !
Par Habib Marouane Camara, Journaliste-chroniqueur.