Le FNDC ou ce qu’il en reste, puisqu’il ne semble pas se rendre compte qu’il a joué et perdu avec le peuple dans le double scrutin du 22 mars dernier, veut remettre ça avec l’élection présidentielle du 18 octobre 2020, en se dressant encore devant un peuple qui l’a disqualifié et honni dans les urnes. Sûr de ne pas être entendu et suivi encore, il persiste, pour la énième fois, dans la bêtise politique, en appelant les Guinéens au désordre et à la violence. Peine perdue, car aujourd’hui, l’heure est à la campagne électorale pour se rendre dans un scrutin transparent, comme la CEDEAO vient de l’attester, et inclusif avec la participation de nombreux candidats dont celui du principal parti d’opposition.
Pendant les élections, au cours notamment de la campagne, seuls, les partis politiques engagés dans le processus et qui ont des candidats ont droit à la parole, à manifester pour soutenir leurs candidats. Le peuple, le jour du vote, ayant le dernier mot. C’est ce que veut la démocratie, c’est ce que la loi impose à tous.
Ceux qui tentent de se mettre en marge de la démocratie et qui ne respectent pas la loi et les institutions nationales sont les véritables ennemis du pays et la plus grande menace pour nos droits, nos libertés et notre ambition démocratique. Ils doivent donc être combattus par tous, car les intérêts égoïstes et les ambitions personnelles ne doivent pas triompher de l’intérêt national, du commun désir de vivre ensemble, de nos valeurs, de nos lois aussi.
Le défi pour chacun et tous demeure, plus que jamais, la paix sociale, l’unité nationale, la stabilité politique et démocratique de notre cher et beau pays, la Guinée.
Vigilance et sérénité, sont les maîtres-mots !
Cellule de communication du candidat du RPG-ARC-EN-CIEL, le professeur Alpha Condé.